Signifiant »mélange » dans la langue de Cervantès, Mezcla brise les codes avec son death metal teinté de flamenco. Ces deux facettes électrique et acoustique font désormais partie du groupe, pouvant alterner l’un et l’autre en concert comme sur album, et continuant ses désirs d’expérimentation de métissage entre Metal et Flamenco. Lasskahl propose un métal avec des riffs lourds, des riffs hypotoniques, des voix criées/ claires et envoûtantes le tout sur des rythmes syncopés.
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Seulement deux ans après son dernier album, le groupe troque à nouveau la distortion contre un nouveau répertoire acoustique. Avec Arena Roja, metal et flamenco se retrouvent à nouveau, guitares et basse acoustiques côtoient cajon et texte tantôt déclamé, tantôt chanté d’une voix dans la plus pure tradition flamenca. Les riffs sont là, les harmonies andalouses aussi, Mezcla propose des compositions inédites à son public, tout en revisitant ses anciens titres électriques avec un nouvel éclairage, bien plus qu’une simple version ‘’unplugged ». Influencé par les origines espagnoles du chanteur-guitariste Alexis Munoz, le groupe nait de la rencontre entre ce dernier et le guitariste Geoffroy Garraut. Le duo travaille sur des compositions et peaufine des reprises de death et thrash metal de la fin des 80’s/début 90’s, puis complète son line-up avec l’arrivée d’Eymeric Jacquet à la basse et Anthony Carino à la batterie. Une première démo Hermanos de Sangre voit le jour en 2008, suivie en 2011 d’un premier album intitulé Salir sin Pagar.
Le quatuor défend sur scène son death/thrash old-school toujours teinté d’éléments flamencos, avec un chant saturé en espagnol aux textes engagés, riffs rageurs, techniques et mélodies certaines. Après avoir partagé la scène avec des groupes tels L’Esprit du Clan ou Tagada Jones, le line-up évolue avec l’arrivée d’une nouvelle section rythmique : Guillaume Poyet à la basse et Thibaud Fernel à la batterie. Quelques concerts plus tard pour continuer de promouvoir Salir sin Pagar, le groupe rentre à nouveau en studio mais cette fois-ci pour un album entièrement acoustique ¿La Victoria de la Vida (2014).
C’est là l’occasion de continuer à expérimenter la fusion entre les deux genres, en faisant davantage ressortir le côté flamenco autour d’une instrumentation mêlant guitares acoustiques, percussions et textes déclamés. En parallèle de ce nouvel opus, de nouvelles compositions en version électrique prennent forme et donnent suite à l’album Metalmorfosis en 2016, qui sortira chez le label indépendant Music Records. C’est une nouvelle visibilité pour le quatuor, qui peut alors enchainer les concerts, aux côtés de No Return, Patrick Rondat, Hypno5e, Primal Age et ADX…
Ces deux facettes électrique et acoustique font désormais partie du groupe, pouvant alterner l’un et l’autre en concert comme sur album, et continuant ses désirs d’expérimentation de métissage entre Metal et Flamenco. Seulement deux ans après son dernier album, le groupe troque à nouveau la distortion contre un nouveau répertoire acoustique. Avec Arena Roja, metal et flamenco se retrouvent à nouveau, guitares et basse acoustiques côtoient cajon et texte tantôt déclamé, tantôt chanté d’une voix dans la plus pure tradition flamenca. Les riffs sont là, les harmonies andalouses aussi, Mezcla propose des compositions inédites à son public, tout en revisitant ses anciens titres électriques avec un nouvel éclairage, bien plus qu’une simple version ‘’unplugged ». Le live prend par ailleurs une toute autre dimension avec les participations ponctuelles de Catalina Gimenez au chant et Sophia Sena à la danse qui apportent dynamisme et fraicheur sur scène.
Formé en 2014 le groupe a sorti en 2015 un EP (2 titres). La critique musicale a été bonne ainsi que pour leurs concerts.
En juin 2021 Lasskahl sort le single « Labyrinth Gates », suivi de « Grudge, Gift of Suffering ».
